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Hier le site de la revue DBD annonçait l’arrêt par Robert Laffont de son secteur BD , comme il se doit en cette période où la goujaterie est élevée au rang de dogme, aucun auteur ne fut prévenu et c’est par les médias, comme c’est d’usage aujourd’hui que l’information nous est parvenue, merci à DBD qui fut le messager..
Quel facteur a mis fin à ce label? sans aucun doute pour moi l’illusion qu’est la BD pour les grandes maisons classiques, la BD cela marche tout seul ! ,Hélas non il en faut la culture , des moyens appropriés, le bon personnel au bon endroit, le réseau commercial adéquat , autant de facteurs qui n’étaient pas là.et qui ont donné ce triste résultat.
Dans ce contexte pourtant Sept cavaliers a bien tiré son épingle du jeu,malgré une mise en place en librairie bien trop faible avec de véritables impasses,le livre a très vite trouvé son public et continue à bien se vendre ( sept cavaliers n’a pas arrêté de figurer au top 100 des meilleures ventes Bd d’amazon de mai à septembre).
Je voudrais par ce petit mot rassurer les lecteurs, je travaille en ce moment sur le tome 2 ,je ne suis pas en retard ,ce qui n’est pas si fréquent dans notre métier, et les cavaliers continueront leurs aventures .Dans quelle maison d’édition ,difficile de le dire pour l’instant,Il est sûr que Robert Laffont a entrepris de vendre son catalogue ,ils comportent de bonnes séries :Le bois des Vierges de Tillier et Dufaux,le Adamson de Puerta et weys,les sentinelles de Dorison et Breccia autant de séries et de noms d’auteurs qui peuvent intéresser les éditeurs. Dans ce type de cas deux possibilités,une maison d’édition reprend l’ensemble du catalogue et fait le ménage,ou les séries s’éclatent chez différents éditeurs, à qui elles correspondent .Impossible de vous dire aujourd’hui sous quel label galoperont les sept cavaliers de Jean Raspail, mais ils seront là, Au printemps ,comme prévu.
D’ailleurs sur mes planches ,la neige a fondu.
Quel facteur a mis fin à ce label? sans aucun doute pour moi l’illusion qu’est la BD pour les grandes maisons classiques, la BD cela marche tout seul ! ,Hélas non il en faut la culture , des moyens appropriés, le bon personnel au bon endroit, le réseau commercial adéquat , autant de facteurs qui n’étaient pas là.et qui ont donné ce triste résultat.
Dans ce contexte pourtant Sept cavaliers a bien tiré son épingle du jeu,malgré une mise en place en librairie bien trop faible avec de véritables impasses,le livre a très vite trouvé son public et continue à bien se vendre ( sept cavaliers n’a pas arrêté de figurer au top 100 des meilleures ventes Bd d’amazon de mai à septembre).
Je voudrais par ce petit mot rassurer les lecteurs, je travaille en ce moment sur le tome 2 ,je ne suis pas en retard ,ce qui n’est pas si fréquent dans notre métier, et les cavaliers continueront leurs aventures .Dans quelle maison d’édition ,difficile de le dire pour l’instant,Il est sûr que Robert Laffont a entrepris de vendre son catalogue ,ils comportent de bonnes séries :Le bois des Vierges de Tillier et Dufaux,le Adamson de Puerta et weys,les sentinelles de Dorison et Breccia autant de séries et de noms d’auteurs qui peuvent intéresser les éditeurs. Dans ce type de cas deux possibilités,une maison d’édition reprend l’ensemble du catalogue et fait le ménage,ou les séries s’éclatent chez différents éditeurs, à qui elles correspondent .Impossible de vous dire aujourd’hui sous quel label galoperont les sept cavaliers de Jean Raspail, mais ils seront là, Au printemps ,comme prévu.
D’ailleurs sur mes planches ,la neige a fondu.